L’assurance vie pour enfant: l'histoire d’Anthony et Mélissa

Couple et leur bébé

Anthony et Mélissa, un jeune couple, attendent leur premier bébé avec grand espoir. Chaque jour, ils imaginent à quoi ressemblera leur enfant. Quelle sera la couleur de ses cheveux, de ses yeux? Et la forme de son nez? Les mois passent et ils rêvent de cet événement de vie magique et inoubliable.

Pourtant, un jour, une question d’un tout autre ordre vient troubler leurs pensées: « Qu’arriverait-il si notre bébé tombait malade? »

Notre bébé a-t-il besoin d’assurance?

Installés à la table de la cuisine, les futurs parents se demandent s’ils devraient assurer leur bébé. Ils réalisent bien vite que personne ne peut prédire l’avenir.

Afin d’y voir plus clair, ils commencent par évaluer leur situation. Anthony et Mélissa ont à peine 30 ans. Ils travaillent à temps plein et leurs finances vont bien. Toutefois, comme plusieurs jeunes couples, aucun d’eux ne possède d’assurance vie individuelle.

Aucune maladie héréditaire ne figure dans les antécédents médicaux de leur famille. Cependant, Mélissa fait du diabète de grossesse. Est-ce que ça cache des ennuis de santé plus graves? Qui sait?

Personne qui tient de la paperasse

Et si on achetait une assurance vie?

Anthony et Mélissa mènent une enquête sur Internet. Le site de Statistique Canada  (Cet hyperlien s'ouvrira dans un nouvel onglet). révèle qu’en 2020, au Canada, 4,4 enfants sur 1 000 sont décédés avant leur premier anniversaire. C’est presque le même taux que la tranche 55-59 ans, qui s’élève à 4,8.

Par ailleurs, leurs recherches sur l’assurance vie démontrent qu’ils ont 3 options. Ils peuvent acheter :

  1. une assurance vie pour eux (et ajouter une protection pour leur enfant à cette police)
  2. une assurance vie temporaire
  3. une assurance vie permanente

Que penser de l’assurance maladies graves?

Anthony et Mélissa approfondissent leurs recherches. Ils découvrent que l’assurance maladies graves leur verserait un montant forfaitaire. Ceci leur permettrait de payer des dépenses imprévues si leur enfant tombait gravement malade et que l’un d’eux devait s’en occuper.

D’abord, le montant d’assurance qu’ils pourraient toucher pourrait atteindre 250 000 $. Ils auraient également droit, entre autres, à une garantie d’assistance pour un deuxième avis médical, à une assistance admission hospitalière, ainsi qu’à une assistance psychologique.

De plus, ils pourraient combiner l’assurance maladies graves à une assurance vie permanente, universelle ou temporaire.

Quelle décision prendre?

Devant la montagne d’informations obtenues, le couple se rend compte qu’il ferait mieux de parler à des experts du domaine pour déterminer leurs besoins précis.

La morale de cette histoire…

Une réponse existe pour chaque question. Mais parfois, il faut savoir à qui la poser, comme aux conseillers en sécurité financière.